
Dynamic
geometry, graph plotter,
and more for french
mathematic
teachers.
Copyright © 2005-2011
Nicolas Pourcelot
http://wxgeo.free.fr
Sommaire
-
-
-
- Le module de
géométrie dynamique
- Le traceur de courbes
- La calculatrice
- Le module de statistiques
- Le générateur d'arbres
de probabilités
-
- Le fichier param.py
- Débogage
- La ligne de commande
-
-
I. LICENCE
This program is free software; you can redistribute it and/or modify it
under the terms of the GNU General Public License as published by the
Free Software Foundation; either version 2 of the License, or (at your
option) any later version.
This program is distributed in the hope that it will be useful, but
WITHOUT ANY WARRANTY; without even the implied warranty of
MERCHANTABILITY or FITNESS FOR A PARTICULAR PURPOSE. See the GNU
General Public License for more details.
You should have received a copy of the GNU General Public License along
with this program; if not, write to the Free Software Foundation, Inc.,
51 Franklin St, Fifth Floor, Boston, MA 02110-1301
Ce programme est un logiciel libre; vous pouvez le
redistribuer et/ou
le modifier selon les termes de la GNU General Public Licence telle
qu'elle a été publiée par la Free
Software Foundation; soit la version 2 de la licence, ou (au choix)
toute version ultérieure.
Ce programme est distribué dans l'espoir qu'il puisse
être
utile, mais sans aucune garantie, pas même la garantie
implicite qu'il
puisse etre adapté à un usage donné.
Pour plus de précisions, lisez la
GNU General Public License.
Vous avez recu en principe une copie de la GNU General Public License
en même temps que ce programme. Si ce n'est pas le cas,
écrivez a l'adresse suivante : Free Software Foundation,
Inc., 51 Franklin St, Fifth Floor, Boston, MA 02110-1301
II.
INSTALLATION
Pour fonctionner, ce programme nécessite la configuration
logicielle suivante :
- Windows 98 ou supérieur, ou une
distribution
Linux assez récente.
- Le logiciel
Python, version 2.4 ou supérieure.
(Logiciel
libre, disponible gratuitement sur http://www.python.org
)
Sous Linux, une version
récente est en principe
déjà
présente.
- La librairie graphique
WxPython,
version 2.6 (des problèmes subsistent avec la version
2.8 sous Windows).
(Logiciel libre, disponible gratuitement sur http://www.wxpython.org)
Sous Linux, une version est en principe deja présente, mais
elle n'est
pas toujours assez récente.
- La
librairie
mathématique numpy
(Logiciel
libre, disponible gratuitement sur http://sourceforge.net/project/showfiles.php?group_id=1369&package_id=175103)
- La librairie mathématique Matplotlib, version 0.91.2 ou
supérieure
(Logiciel
libre,
disponible gratuitement sur http://www.sourceforge.net/projects/matplotlib)
Remarque
: ces logiciels doivent être installés dans
l'ordre mentionné.
Sous Windows, un redémarrage du système
est
conseillé après ces installations.
Après avoir téléchargé la
dernière
version de
WxGeometrie (http://www.sourceforge.net/projects/wxgeometrie),
dézippez l'archive dans un répertoire sur lequel
vous avez
les permissions nécessaires.
Vous pouvez lancer le programme en double-cliquant sur le fichier
wxgeometrie.pyw .
Sous Windows :
Il existe désormais un programme d'installation de
WxGéométrie.
Ce programme nécessite un accès
à internet, car il
télécharge les dernières versions de
Python, et
des autres librairies nécessaires (afin de ne pas alourdir
inutilement le programme d'installation en incluant
systématiquement tout).
Pour désinstaller
WxGéométrie, il suffit de supprimer le
répertoire d'installation du programme.
En effet, pour l'instant, WxGéométrie
n'écrit rien dans la base de registre.
Il existe également une version sans
installation, qui ne nécessite pas la présence de
Python.
Cette
dernière version est surtout livrée à
des fins de
démonstration (ou pour être utilisée
sur une clef
USB, style Framakey) ; elle est probablement moins
stable
(si quelqu'un veut reprendre et améliorer le projet ?).
III.
PREMIERS PAS
Certaines options de WxGéométrie ne sont pas
encore fonctionnelles.
Il ne s'agit pas de bugs en general, mais, simplement, du fait que ces
options ne sont pas encore complètement écrites.
Ainsi, un certain nombre de boutons et d'entrées du menu ne
provoquent aucune action dans les versions actuelles. Ceci correspond
à des fonctionnalités qui seront
implementées dans les prochaines versions.
WxGéométrie est composée de plusieurs modules ; les 5 principaux sont
:
- Un module de géométrie dynamique.
- Un traceur de courbes.
- Une calculatrice formelle.
- Un module graphique de statistiques.
- Un générateur d'arbres de probabilités.
Les autres modules présents sont fournis à titre purement expérimental, et ne sont donc pas documentés ici.
Note :
Toutes les fonctionnalités du module de
géométrie dynamique sont utilisables dans le
traceur de courbes ; elles sont aussi (en partie) utilisables dans le module de statistiques.
1.
Le module de géométrie dynamique
Pilotage avec la souris
Vous pouvez pour l'instant faire les actions suivantes :
- créer une nouvelle feuille
- créer
différents types de points, de
droites, de cercles, des vecteurs, des intersections...
- modifier les propriétés de ces
différents objets (changer leur couleur, les masquer...)
- régler la fenêtre d'affichage
- orthonormaliser le repère
- annuler une
ou plusieurs actions
- exporter et sauvegarder la figure
Utilisation de la souris pour piloter le logiciel :
- Laissez enfoncé le bouton droit de la souris
pour
déplacer
la figure.
- La molette de la souris permet de
zoomer sur la figure.
- En laissant enfoncée la touche
[Ctrl], la molette de la souris permet d'ajuster la taille des textes de
la figure.
- Laissez enfoncée la touche
[Ctrl], et le bouton gauche de la
souris, pour sélectionner une zone et zoomer dessus.
- Vous
pouvez déplacer les points libres de la figure avec la
souris.
- Placez-vous sur un point, ou un texte, et appuyez sur la
touche [Entrée], pour le renommer.
- Placez-vous sur un objet, et faites un clic droit pour
éditer ses propriétés
- Placez-vous sur un objet, et faites [Suppr] pour le
supprimer, ou [Maj] + [Suppr] pour le masquer .
- Si vous créez un point libre en laissant la
touche [Maj] enfoncée, le point se placera sur le
quadrillage.
- Vous pouvez déplacer le nom d'un point autour de
celui-ci en cliquant dessus, la touche [Alt] étant
enfoncée.
Note:
Sous Ubuntu, la touche [Alt] est déjà utilisée pour déplacer la
fenêtre.
Il est conseillé de modifier ce comportement :
dans Système>Préférence>Fenêtres, choisir "Super" comme
"touche de mouvement".
Création d'objets via le menu Créer
Pour la création des objets
géométriques, il existe une abondante aide
contextuelle dans chaque fenêtre de création
d'objet.
Cliquez sur le point d'interrogation en haut de la fenêtre,
puis sur un champ, pour obtenir une aide detaillée.
En cliquant avec le bouton du milieu de la souris dans un champ, vous
ferez également apparaitre diverses propositions.
Vous pouvez utiliser les notations suivantes : [A B] pour le segment
[AB], (A B) pour la droite (AB), (A>B) pour le vecteur
A->B, ||A>B|| pour sa norme.
Remarquez l'espace entre les lettres "A" et "B" dans les deux
premiers
cas.
Choisir le mode d'affichage de l'étiquette d'un objet
Vous remarquerez que chaque objet possède quatre modes
d'affichage : nom, texte, formule, ou aucun.

Que signifient ces 4 modes ?
- Mode « Nom » : le nom de l'objet est
affiché.
Un nom d'objet doit commencer par une lettre (non
accentuée), suivie de lettres (non
accentuées) et de chiffres.
Il est forcément unique.
Certains noms sont réservés (e, pi, x, y, t, i, ...
)
- Mode « Texte » : un texte est
affiché à la place du nom.
Ce mode permet d'associer n'importe quel type de texte à un
objet.
La syntaxe LATEX est également partiellement
supportée, dans ce cas, le texte doit être entre $.
Exemple :
"$\alpha_{n}$"
- Mode « Formule » : le texte
affiché est interprété comme une
formule.
On peut aussi mélanger du texte
interprété et non
interprété, en mettant les blocs à
interpréter entre { }.
Exemple :
"Le point A a pour abscisse {A.x} et pour ordonnée {A.y}."
- Mode « Aucun » : rien n'est
affiché.
La ligne de commande
Elle permet de créer rapidement des objet géométriques. (Personnellement, je l'utilise fréquemment).
Elle fonctionne dans le module géometrie, dans le module
traceur, et dans le module statistiques.
Utilisation :
Voici quelques exemples qui parleront mieux qu'un long discours...
Exemples
- "A=Point(1,2)" ou
"A=(1,2)"
Création d'un point A de coordonnées (1 ; 2).
- "u=Vecteur(1,2)" ou
"u=(1,2)"
Création d'un vecteur u de coordonnées (1 ; 2).
- "AB=Segment(A,B)" ou
"AB=[A B]"
Création du segment [AB].
Attention à l'espace entre les lettres dans le
deuxième cas.
-
"d=Droite(A,B)" ou "d=(A B)"
Création de la droite (AB).
Attention à l'espace entre les lettres dans le
deuxième cas.
- "u=Vecteur(A,B)" ou
"u=A>B"
Création du vecteur A->B.
- "M=C+2*(A>B)"
Création du point M vérifiant C->M = 2
A->B.
Les parenthèses sont obligatoires.
- "fenetre=(-10,10,-5,5)"
Changement de la fenetre d'affichage (xmin, xmax, ymin, ymax).
Si l'affichage est en mode orthonormé, la fenêtre sera élargie pour respecter cette contrainte.
2. Le
traceur de courbes
Vous pouvez pour l'instant faire les actions suivantes :
- régler la
fenêtre d'affichage
- orthonormaliser le
repère
- utiliser des objets géométriques
- représenter des suites
Le traceur de courbes
supporte les fonctions définies par morceau, continues ou
non.
Exemples
:
1) Soit la fonction f,
définie sur R-{0} par f(x)=1/x
Remplissez les champs de la manière suivante :
![[V] Y1= [ 1/x ] sur [ R-{0} ]](images/inverse.png)
Notes
:
vous remplissez le premier champ avec 1/x (la
fonction), le deuxième avec l'intervalle de
définition,
c'est-à-dire
R-{0}.

2) Soit la fonction f,
définie sur [-2;0[ par f(x)
= -1, et sur
[0;1[ U ]2;3] par f(x) = x
Remplissez les champs de la manière suivante :
![[V] Y2= [ -1|x ] sur [ [-2;0[|[0;1[U]2;3] ]](images/morceaux.png)
Notes
:
Vous remplissez le
premier champ avec la fonction.
Comme elle est définie par morceaux, on
utilise le symbole "|" comme séparateur: ce qui donne -1|x.
Vous
remplissez le 2ème champ avec l'intervalle de
définition.
Comme elle
est définie par morceaux, on utilise le symbole "|" comme
séparateur:
ce qui donne [-2;0[|[0;1[U]2;3].

3.
La calculatrice
Son fonctionnement sera assez
familier pour quiconque a déjà utilisé
une calculatrice
scientifique.
Elle
permet de travailler sur des nombres réels ou complexes, et de faire du
calcul formel de niveau lycée.
En particulier, on peut développer, factoriser, dériver, intégrer, et
résoudre des (in)équations ou des systèmes linéaires :
- developpe((x-3)(x+sin(x)-4))
- factorise(x*exp(x)+exp(x))
- derive(x^2+x+1)
- integre(x^2+x+1)
- resous(x*exp(x)+exp(x)=0)
- resous(x+3>2-x ou (x-4<=3x+7 et x>0))
- resous(x+3-y=2-x et x-4y=3x+7y-1)
Nota 1 : Pour obtenir le résultat d'un calcul sous forme décimale (calcul approché), appuyez sur MAJ+ENTRÉE au lieu de ENTRÉE.
Nota 2 : On peut faire apparaitre la liste des
fonctions par un clic-droit dans la zone de saisie, en laissant enoncée
la touche CTRL.
Depuis la version 0.120, elle utilise la librairie de calcul formel
sympy (© 2006-2011 SymPy Development Team).
Des
variables peuvent
être
utilisées pour mémoriser des valeurs, ou
définir des fonctions.
Exemples:
- a = 25+7/4
- f(x)=2x+17
- g=f'
Ici, la fonction g est définie comme la dérivée de la fonction f.
Notez que certaines variables sont protégées (i, e ou E, pi, ...).
4. Le
module statistiques
Ce module
sert essentiellement à tracer des diagrammes, qui n'existent
pas
toujours sur tableur, ou qui y sont incorrectement définis.
A l'origine,
ma
motivation était essentiellement de pouvoir tracer des
histogrammes, qu'OpenOffice.org® ou Excel® confondent
avec les
diagrammes en barre.
Il fait aussi la différence
entre
diagrammes en barres et en bâtons (contrairement à
ce
qu'on peut lire souvent, la différence essentielle n'est pas
esthétique).
Voici
une présentation des principaux types de graphiques :
Diagrammes
en barres :
Utilisés en
particulier pour des séries à
caractère qualitatif.
Exemple : la
répartition des voyelles dans l'alphabet.
On
sélectionne le mode :

On
ajoute les valeurs et les effectifs (ou fréquences) qui leur
correspondent.
La
syntaxe est la suivante : « effectif * valeur »
(valeur
doit être entre guillemets, pour des valeurs non
numériques).

Il
ne reste plus qu'à compléter la
légende :

Et
à appuyer sur [Entrée] dans un des champs.
Le
résultat est le suivant :

Diagrammes
en bâtons :
Utilisés pour
des séries à caractère quantitatif
discret.
Exemple : la répartition des pointures de
chaussures chez les femmes françaises adultes (2005).
On
sélectionne le mode :

On
ajoute les valeurs et les effectifs (ou fréquences) qui leur
correspondent, et on complète la légende :

On presse la touche
[Entrée] dans un des champs.
Le résultat
est le suivant :

Histogrammes
:
Utilisés pour des
séries à caractère quantitatif continu.
On
va reprendre l'exemple précédent, en regroupant
les pointures par classe.
On sélectionne
le mode :

On
complète la rubrique « Regroupement par classes
».

Pour les
histogrammes, il n'y a pas d'ordonnée, mais il faut
préciser la nature de l'unité d'aire.

Et on appuye sur
[Entrée].

Pour
aller plus loin :
- A la
place des valeurs numériques, on peut tout à fait
insérer des formules.
Exemple :

- La génération de listes est
également possible.
La syntaxe est celle de Python (cf. list comprehensions
dans la documentation de Python).
Essayez par exemple de rentrer cette formule : [(rand(),i) for i in
range(4)].
- Dans Outils, trois
sous-menus permettent respectivement de créer des
expériences.
En particulier, à titre
d'exemple, il est possible de simuler des lancers de
dés, et des sondages simples.
N'hésitez
pas à éditer le fichier experience.py
dans modules/statistiques/, et à y
ajouter de nouvelles fonctions.
Vous pourrez ensuite
réaliser vos propres expériences, depuis le menu
« Experience ».

Entrez votre formule dans le champ
« Experience » (ici, un lancer de dé),
et le nombre d'expériences.
Eventuellement,
entrez aussi les valeurs possibles . Pour un lancer de dé
par
exemple, cela permet d'afficher en légende 1, 2, 3, 4, 5 et
6,
quand bien même il n'y aurait aucun « 4
» par exemple.
Notes :
-
Pour simuler des lancers de dés, mieux vaut utiliser le menu
spécialement dédié (quelques
optimisations y ont
été faites).
- La case «
lancer une animation » n'a pas d'effet pour l'instant.
4. Le générateur d'arbres de probabilités

Les arbres de probabilité sont codés de la manière suivante :
-
La première ligne (optionnelle) correspond à la légende.
Exemple :
||Premier tirage|Deuxième tirage
(Note :
l'ajout de barres verticales supplémentaires (AltGr+6) décale la
légende vers la droite.)
-
Les lignes suivantes correspondent à l'arbre
proprement dit.
- Le nombre de > correspond au niveau dans l'arbre.
-
La syntaxe est la suivante :
« Nom de l'évènement » : « Probabilité de l'évènement »
Exemple :
omega
> A:1/4
>> B:1/5
>> J:2/5
>> V:...
> &A :3/4
>> B:...
>> J:...
>> V:...
Le symbole & indique qu'il s'agit de l'évènement contraire : &A est ainsi l'évènement «A barre».
(Note : la syntaxe LaTeX est également acceptée).
IV.
UTILISATION AVANCÉE
1.
Le fichier param.py
Un grand nombre de
paramètres peuvent être modifiés dans
le fichier param.py avec un
simple éditeur de textes.
Exemple:
Remplacez "affiche_axes =
True" par "affiche_axes = False" pour que les axes ne soient plus
affichés par defaut.
Note : il peut être parfois nécessaire d'effacer le dossier /preferences (qui contient les paramètres de la session précédente) pour que les changements soient pris en compte.
2. Débogage
Dans le menu Avancé>Déboguer, sélectionner « Déboguer » pour faire apparaître une fenêtre contenant entre autres tous les rapports d'erreurs.
Par ailleurs, le répertoire /log contient les fichiers .log générés lors de la dernière exécution (actions effectuées, messages d'erreurs, etc.)
3.
La
ligne de commande
Introduction:
La ligne de commande sert essentiellement
à
débuguer le programme.
(Ou à réaliser certaines opérations
internes,
etc...)
La ligne de commande permet d'exécuter des instructions Python.
Précédé du symbole &, le
résultat de la commande sera affiché
dans la console. (NB : assurez-vous au prélable que l'option « Déboguer » soit cochée, dans le menu Avancé>Déboguer).
Les raccourcis suivants sont disponibles :
- !p. pour panel.
- !c. pour canvas.
- !f. pour feuille.
- !o. pour objets.
- !g. pour moteur_graphique.
Leur maniement nécessite évidemment de bien connaître l'API de WxGéométrie, et donc de faire un tour dans le code source.
Exemples :
1)
"print 'hello world !'"
Ceci va afficher 'hello wold !' sur la
console.
NB :
« & 'hello world !' » produirait le même
resultat.
2) "print objets.A"
Affiche, s'il existe, l'objet A dans la
console.
NB :
Cette commande s'abrège de même en « & !o.A ».
3) "panel.exporter('test.png')"
Exporte la figure courante en un fichier test.png.
NB : Forme abrégée : « !p.exporter('test.png') ».
4) "feuille.fenetre = (-5,2,-7,3)"
Change la fenêtre d'affichage en (-5, 2, -7, 3).
NB : Forme abrégée : « !f.fenetre = (-5,2,-7,3) ».
V.
COMMENT CONTRIBUER ?
Vous pouvez par exemple :
- m'envoyer
un mail à l'adresse suivante : wxgeo@users.sourceforge.net,
en me donnant vos impressions générales.
- corriger les
éventuelles fautes
d'orthographe.
- me signaler des bugs
existants, et non répertoriés sur le tracker http://wxgeo.free.fr/tracker
.
- me proposer
des corrections de bug :)
- ajouter
des fonctions mathématiques à la
calculatrice
- implémenter la gestion des coniques
- commencer de géométrie dynamique dans l'espace
- compléter cette
documentation ou
créer
un tutoriel (je manque de temps pour tout faire !)
Je suis également ouvert
à
toute autre contribution, et je suis prêt à
travailler en équipe... :-)
Je
recherche en particulier (liste non exhaustive) :
- des
personnes pour m'aider à maintenir et à
améliorer :
- le fonctionnement
sous Linux :
tests, création de scripts bash
d'installation, de paquetages .deb ou .rpm, guides utilisateurs,
etc..., chose que je n'ai pas le temps de faire aussi bien que je le
souhaiterais.
- le fonctionnement
sous MacOs X :
théoriquement,
ça devrait tourner
assez facilement, mais je n'ai jamais eu la
possibilité
de le tester.
- des
personnes intéressées par la construction de
nouveaux modules pour WxGéométrie.
Je
pense en particulier à des professeurs de
mathématiques, de
sciences-physiques, de technologie... qui auraient un peu
d'expérience
en programmation objet (mais pas nécessairement en python :
python en
lui-même s'apprend en une semaine).
Une
première expérience fructueuse a
déjà
commencée, en collaboration avec Christophe Vrignaud.
- des
personnes pour me faire remonter des rapports de bugs, ou des
suggestions. A quelques exceptions près, les seuls
échos que j'ai pu avoir,
ce sont les statistiques de sourceforge. Je sais que le projet manque
encore de maturité, mais au fil des versions, il y a
désormais un peu
de matière. Toutes les critiques sufisamment
précises sont bonnes à
prendre. ;-)
Note :
une documentation spécifique pour
développeurs se trouve dans le répertoire doc/developpeurs/.
VI.
REMERCIEMENTS
Sans prétention d'exhaustivité, je voudrais remercier :
- Boris Mauricette, pour avoir contribué au module de Statistiques (tracé des quartiles).
- Christophe Bal pour ses commentaires, et pour avoir proposé la
syntaxe du module de Probabilités.
- Les développeurs de sympy, avec qui j'ai toujours eu des échanges cordiaux et constructifs, y compris de code.
Remerciements plus particuliers à Chris Smith, Vinzent Steinberg et Aaron Meurer.
- Christophe Vrignaud,
qui a développé et maintenu quelques temps le module Scicalc pour
Wxgéométrie.
-
Stéphane Clément a mis a disposition de Wxgéométrie le wiki de
l'académie d'Aix-Marseille.
- Tous ceux qui ont
pris le temps de faire quelques commentaires sur ce programme,
et
m'ont encouragé à continuer (en particulier dans les premiers temps : mon frère Thomas, Enzo,
Rhydwen Volsik, Robert Setif...).
-
François Lermigeaux, pour les coups de pub occasionnels.
- Georges Khaznadar, pour ses nombreux conseils concernant Debian.
-
Tous ceux qui ont pris le temps de faire des rapports de bugs et des retours.
Merci enfin à Sophie pour sa
patience !